• Le procédé ignoble utilisé par des individus dont je vais m'efforcer de cerner l'identité qui a consisté, une fois de plus, à s'en prendre à ma personne et à ma réputation ne m'a pas surpris. Il a été déjà utilisé à plusieurs reprises par le passé. Ceux qui avaient cru à l'époque m'éliminer définitivement en me traitant plus bas que terre dans leurs écrits adressés très maladroitement à des personnalités qui, elles, avaient à mon endroit une opinion située à l'opposé de celle que ces détracteurs sans scrupules tentaient de leur faire admettre, ont reçu individuellement un pensum dont ils ne se sont jamais vantés. Des années plus tard, comme la mule du pape, à la suite d'une tentative de récidive basée sur une affirmation mensongère dont j'ai pu, par chance apporter en toute dernière minute un dément irréfutable j'ai réagi on ne peut plus violemment. Mais voilà qu'une nouvelle génération de je "sais-tout" orgueilleux et méprisants - à croire qu'à Marsannay les personnages arborant ce profil se reproduisent perpétuellement - se permettent de prendre l'initiative d'attaques mensongères susceptibles selon eux de déstabiliser et d'abattre de façon définitive leur adversaire. Une action concertée, mûrement réfléchie et préparée à l'avance n'est pas à exclure. Si c'est le cas la baudruche s'est brusquement dégonflée et les effets obtenus seront d'une autre nature que ceux espérés. Franchir la ligne blanche continue qui interdit l'accès à la calomnie cette gangrène que Beaumarhais a remarquablement dépeinte c'est en effet prendre des riisques considérables. J'ai moi-même et sciemment tenu des propos très vifs visant des personnes qui ont choisi d'exercer des fonctions de caractère public et qui doivent en assumer  toute les conséquences. Une majorité d'entre eux, je dois le reconnaître a préféré se taire plutôt que de calomnier sans preuves. Et si je suis en colère mais malgré tout serein c'est que jusqu'à ce jour, personne n'a pris le risque de me traiter de menteur. Mes maîtres m'ont appris qu'une information doit impérativement être vérifiée avant d'être divulguée. Un principe moral que semblent ignorer totalement ceux qui m'ont de façon indigne et à plusieurs reprises odieusement et très imprudemment agressé. Je tiendrai très prochainement mes lecteurs de tous horizons au courant des résultats de mon "enquête"qui progresse à grands pas .


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  • Un individu camouflé confortablement sous un pseudo qui se veut humoristique, dont il est aisé de mesurer la capacité intellectuelle et de nuisance, a jugé original et efficace de rédiger hier soir une rafale de commentaires se rapportant à quelques-uns de mes articles en utilisant des termes orduriers et crapuleux assortis de menaces personnelles à peine voilées. Le procédé est méprisable et condamnable. De surcroît la seule information qualifiant la dégustation du 21 mars d'échec notoire est fausse et je conseille à l'auteur,qui devrait pourtant le savoir, de vérifier ses sources. Il pourra facilement vérifier auprès des responsables du domaine viticole situé rue de la Boulotte que ce sont 24 personnes et non pas trois qui participaient ce soir-là à la dégustation De la Cave à la Table et qu'il s'agit d'un réel succès plutôt que d'un échec notoire. Les articles dont le contenu ne correspond en rien à ces critiques acerbes et déplacées et qui prennent en raison de cette goujaterie un relief inattendu, sont les suivants: Le dernier rideau de fumée, Zéro phyto, Il a osé, Mainmise sur l'information, La prochaine dégustation de la cave à la table. Je laisse durant quelques jours aux lecteurs la possibilité de juger par eux-mêmes du niveau de qualité des diatribes inacceptables formulées. Et puis je supprimerai les commentaires visant une honorable personne nommément et imprudemment désignée. Ce triste personnage qui préfère les coups-bas plutôt que le combat d'idées se croit déjà en période pré-électorale. Je le rassure j'y penserai, moi aussi, le moment venu, mais en employant d'autres méthodes de persuasion. Avec des adversaires de ce calibre on peut, en effet, s'attendre à tout et il sera difficile de garder son sang-froid. Vous avez dit Vivre ensemble à Marsannay. Dans de telles conditions, pas question.


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  • Je trouve dans ma boîte aux lettres, imprimé sur papier glacé de qualité, le bilan à mi mandat de l'équipe majoritaire rédigé je suppose par l'adjointe n°6 chargée des affaires scolaires et par ailleurs présidente de VEM. Cette élue qui avait dès le début de son mandat et à plusieurs reprises annoncé la couleur en lançant des sous-entendus au vitriol en direction des membres de l'opposition dont quelques-uns m'étaient indirectement destinés, semble s'être quelque peu assagie. Elle ne voit dans l'adversité que vents et marées sans prendre garde que quand ces forces de la nature se déchaînent elles emportent tout sur leur passage et elle devrait le savoir. Ceux qu'elle traitait hier d'hommes du passé ou de conservateurs attardés lui ont maintes fois apporté la preuve que c'est elle et ses collègues qui sont en réalité à l'image et aux ordres de ces décideurs qui, depuis plus de trente ans ont présidé aux destinées de la commmune et l'ont conduite lentement mais sûrement dans la situation catastrophique de laquelle des compétences nouvelles et à venir  auront beaucoup de mal à l'en sortir. Revenons à son édito truffé de motifs de satisfaction dictés par ce qu'elle nomme une fidélité aux promesses. Une très longue énumération de réalisations d'une affligeante banalité l'accompagne  véritable inventaire à la Prévert, étalant sur quatre pages pas moins de 107 actions. Une lecture fastidieuse mais indispensable pour en apprécier à sa juste valeur le caractère à la fois infantile et ridicule. Quant à Monsieur le Maire, l'éternel satisfait de lui-même, il laisse une fois de plus une tierce personne s'exprimer à sa place, est-ce par tactique ou par aveu d'incompétence? Je crois avoir trouvé la réponse dans l'analyse très personnelle des informations et des articles de presse qui les livrent depuis une quinzaine de jours au lecteur assidu que je suis.  Ma conclusion: un document de plus où se répand de façon indécente une autosatisfaction généralisée qui cache à l'opinion les dérapages et les échecs. Un rideau de fumée dont la transparence croit de jour en jour.


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  • Je n'ai pas encore digéré cette annonce brutale d'une décision concernant l'ensemble de la population, prise une fois de plus sans concertation par la municipalité et publiée le 1er avril sur une demi-page du BP. J'ai d'abord cru à une à une mauvaise plaisanterie. Pas du tout, aucun démenti le lendemain, donc information à prendre au sérieux. Il s'agit , vous l'avez compris, de l'installation de caméras de surveillance, qualifiées pudiquement de protection en différents endroits de la commune jugés sensibles par les élus qui nous gouvernent dans le but de "faire baisser la sinistralité de la commune" un néologisme outrancier dans la bouche de celui qui affirme par ailleurs qu'il fait bon vivre à Marsannay. Mais pour combien de temps encore? Question: Pourquoi notre maire a-t'il désigné son adjoint n°3 chargé, excusez du peu, des finances, du développement économique, de la planification, des nouvelles technologies, pour annoncer cette information fracassante totalement inattendue, lui qui se réserve habituellement ce rôle avec une apparente satisfaction. Alors que cette annonce capitale n'a suscité à ma connaissance  aucune réaction significative de la part de l'opposition, la réponse m'est apparue clairement à la lecture d'un second article publié trois semaines plus tard, le 22 avril, sous le titre Dans l'œil de la délinquance, article qui a permis au maire de reprendre la main sans toutefois réussir à occuper la place de leader qu'il s'entête à revendiquer dans ce domaine. Une analyse personnelle de chacun de ces deux articles très prochainement. Et merci pour votre fidélité.

     


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  • Je vous annonçais dans mon dernier billet la révolution proclamée par le maire dans les procédés de désherbage des espaces verts. Elle a fait l'objet de la totalité de la page 2 du premier cahier du BP du 1er avril. Une première remarque s'impose, l'importance un tantinet ridicule donnée à l'évènement heureusement ramenée à une plus juste dimension avec humour par le rédacteur de l'article quand, à deux reprises il fait allusion aux fleurs de pissenlits qui risquent d'envahir la pelouse du terrain de foot-ball. A cette "révolution" notre premier magistrat y réfléchit depuis longtemps, "nous suivons depuis cinq ans les comités de pilotage organisés par le Grand Dijon, afin de réduire les épandages de pesticides". Il ne précise pas si le personnel communal affecté à ces tâches a bénéficié à l'occasion de ces réunions de cours de formation ou de perfectionnement. Manifestement non puisque la municipalité (le maire et ses adjoints) a décidé de confier le désherbage communal à la jeune entreprise Desherbeco avec l'accord de la commission de travaux (un de ses nombreux satellites)s'empresse-t-il d'ajouter. L'effet d'annonce est très bien orchestré, pas moins de cinq adjoints sur sept sur la photo malencontreusement entachée d'une regrettable faute de cadrage qui fait apparaître le mot zero écrit en toutes lettres dans l'espace laissé libre pour une bonne visibilité de l'affiche annonçant l'opération entre le maire et le maire adjoint qui est du plus mauvais goût. Techniquement les méthodes préconisées par l'entrepreneur pour lutter efficacement contre la mauvaise herbe ne calment pas  mon pessimisme quand celui-ci énumère les différents moyens dont il dispose, par flamme, rayon infrarouge, procédé mécanique, par eau sans toutefois supprimer les pertes de gaz ou d'eau! Fort heureusement il ajoute "les techniques que j'emploie n'interviennent qu'une fois l'herbe poussée". Me voilà rassuré, je ne serai donc jamais privé du flamboyant parterre de fleurs de pissenlits qui donne de la couleur au charmant petit espace vert que j'ai la chance d'avoir sous mes fenêtres mais laissé à l'abandon depuis des mois. Honni soit qui mal y pense.


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