• REVOILA LA PATARELLE

    Je savais que des projets d'articles originaux traitant du passé de notre commune, à publier dans la presse locale, étaient en cours de rédaction. Ils devaient être le fruit d'une collaboration entre une correspondante du journal et l'un des auteurs du livre "De Marcenay à Marsannay-la-Côte" "dont ne subsiste qu'une centaine d'exemplaires en dépôt-vente à l'office du tourisme", organisme totalement controlé par le pouvoir en place où l'auteur du livre, un ancien élu des municipalités antérieures a trouvé un emploi. Un passé qui devait être enrichi de l'histoire  de l'évolution. du mode de vie des pataras depuis des siècles dans le but d'en informer les habitants "récemment arrivés qui découvriront comment se dessinèrent nos rues, arriva l'électricité, coula l'eau sur l'évier, sonna le téléphone". Le BP du 21 juillet m'apprend à ce sujet la naissance d'une chronique hebdomadaire joliment qualifiée patarelle mais, ô surprise, l'article est rédigé à la première personne du singulier, la correspondante n'ayant été autorisée vraisemblablement qu'à prendre la photo de ce nouveau journaliste au nom souvent écorché qui affiche, on le comprend, un sourire de vainqueur. C'est une nouvelle illustration de la mainmise sur l'information municipale par la majorité en place, un exemple de plus aussi dans la récupération par le maire et à son profit des idées et des actions lancées par les élus de l'opposition.


  • Commentaires

    1
    AnnieGoubet
    Samedi 23 Juillet 2011 à 18:02

    Au mois de mai, j'avais proposé à Michel Amalric de faire une chronique sur Marsannay pendant les mois de juillet aout et plus si les lecteurs le souhaitent. Ces articles sont entièrement rédigés par Michel Amalric, secrétaire de l'Office du tourisme et qui a ma foi une très jolie plume. Gentillement il m'avait associé à ses articles en rédigeant les textes à la première personne du pluriel, c'est à dire NOUS, mais le Bien Public ne l'a pas souhaité. Les articles rédigés par les correspondants locaux, compte rendus, annonces, ne sont jamais signés, le nom du correspondant apparait uniquement sous la photo.  La chronique sera donc rédigée à la première personne du singulier, c'est à dire JE, malgré l'insistance de Michel Amalric et peut être parfois raccourcie en fonction de la place sur le journal.  Notre souhait principal, étant que cette chronique intéresse les habitants de Marsannay, les anciens (la mémoire vivante)  et les nouveaux Pataras. C'est en toute modestie mais en passionés que nous essayerons de vous raconter Marsannay avant.  

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