J'ai sous les yeux la revue municipale, nouveau look, du mois d'avril que je ne peux me résoudre à classer tant elle m'inspire de réactions de tous ordres allant de la prise en compte sérieuse et enrichissante d'informations qui me manquaient, à la colère engendrée par des décisions scandaleuses et répréhensibles prises par notre maire à l'occasion de cette mutation annoncée. Pour l'accomplir dans les meilleures conditions, un premier appel d'offres, puis un second rendu nécessaire après l'annulation du premier, sont organisés pour désigner l'homme de l'art le mieux placé et le plus compétent pour mener à bien ce projet qui, pour ma part ne s'imposait pas dans l'immédiat, en période de crise majeure. Les élus de l'opposition ont bien joué leur rôle en dénonçant à l'époque ces pratiques autoritaires et illégales et l'ont fait savoir en les inscrivant sur leurs sites. J'ai jugé bon dans un premier temps de ne pas renchérir, mais une confirmation récente des faits assortie de détails complémentaires m'autorise à "remettre l'affaire sur le tapis" afin que les électeurs de Marsannay soient tenus au courant des faits et gestes d'une municipalité qui ne cesse de clamer son respect absolu des engagements pris lors de la campagne électorale précédant son élection et ce avec une autosatisfaction débordante et un mépris insupportable à l'égard des conseillers municipaux de l'opposition. (à suivre)