Je sais qu'une partie de mes lecteurs trouve que les critiques que j'adresse aux personnages et personnalités les plus en vue de notre commune ne sont pas des plus tendres. Qu'ils sachent que je les ai bien connus, parfois fréquentés, et que j'ai de bonnes raisons personnelles qui justifient la nature souvent musclée de mes propos. Pourtant, je vous l'avais déclaré, j'avais décidé, en cette période de vacances, de prendre comme on le dit simplement, les choses du bon côté ou mieux encore le parti d'en rire. Que l'auteur du dernier et sympathique commentaire soit rassuré, je n'y ai pas renoncé définitivement, l'actualité est tellement riche à Marsannay dans les domaines de l'incompétence, du ridicule, du cocasse, que l'humour est dans bien des cas la meilleure réponse à ces débordements. Preuve est faite avec les critiques humoristiques de la série estivale des "niaiseries du père Michou", le mot n'est pas de moi. Et comme une idée chasse l'autre, mon goût pour l'information prend le dessus. Je la trouve sur le blog "Tous unis pour Marsannay". Elle concerne encore le même personnage qui n'avait pas encore trouvé sa bonhomie et sa truculence actuelles. En sa qualité d'adjoint délégué à l'information et à la communication, il répondait en ces termes, le 15 mai 2000,  à une habitante en colère: "Grâce aux deux maires qui se sont succédés", (entendez Paul Goutorbe et Gérard Laborier), Marsannay dispose aujoud'hui de structures et d'infrastructures qui, pour ne pas être toutes exhaustives ont permis à notre ville d'être respectée en dépit de son atypisme qui a permis la continuité de ses programmes" Peut-on s'exprimer plus clairement? (formulation humoristique) ou de façon plus absconse (formulation littéraire) ? Que l'on me pardonne d'ajouter "et qui l'ont conduite dans une situation de surendettement catastrophique confirmée tout récemment par les  statistiques officielles publiées opportunément sur le blog précité.