• Pour la seconde fois, l'association JVMC (Jardins et Vergers de Marsannay-la-Côte) organise le samedi 14 avril, de 14 h. à 18 h. sur le terrain situé en face de l'entrée du parking de la Maison de Marsannay, son troc vert Pata'plants. Il s'agit d'une bourse d'échanges de plants, de boutures, de rhizomes, de graines, de plantes à fleurs, de légumes, d'aromates, d'arbustes, de fruits rouges...Chacun y trouvera également conseils et astuces.

    Dès maintenant, conseille Gilles Sallic, le président," pensez à faire des potées pour notre manifestation en dédoublant des vivaces, des aromates, des iris ..., en préparant des plants de fleurs, de légumes que vous pourrez alors échanger contre d'autres plantes".  INFO  Tél.03 80 52 37 92.


    votre commentaire
  • La tête de liste "Changements et Progrès pour Marsannay", Claude Sirandré, avec qui le démocrate que je m'efforce d'être, entretient depuis très longtemps des relations d'amitié sincères et durables, vient de réagir à mon article intitulé "Au dernier Conseil: déclaration de guerre" publié le 21 décembre 2011, en y apportant un long commentaire dont il est facile de prendre connaissance ci-dessous. Sans le nommer expressément je l'avais accusé en affirmant "qu'il s'était illustré à la veille du deuxième tour des dernières élections municipales avec ses prises de position inattendues et de toute dernière heure jetant ainsi le trouble parmi une partie de ses co-listiers et de ses électeurs"

    Il donne là sa version personnelle de faits qui, à l'époque, en fonction des informations qui m'étaient parvenues et que j'avais vérifiées, ne me semblaient pas correspondre à la réalité. Monsieur Sirandré conteste mes affirmations et déclare" qu'il y a toujours eu un refus de réponse et de discussion au départ de l'autre liste".

    Sans vouloir rouvrir le débat et revenir sur un  scénario contestable qui a eu pour conséquence inéluctable la défaite de l'opposition, je demande à celle-ci, pour qui j'ai voté, de ne pas perdre de vue que les mêmes causes produiront les mêmes effets. Ce qui se passe actuellement au sein de l'assemblée municipale n'est pas de nature à apaiser mes craintes. 

     


    votre commentaire
  • L'article publié dans le Bien Public du 21 janvier consacré à l'assemblée générale de l'association Jardins et Vergers tombe à pic pour illustrer et complèter mon billet du 14 janvier. Il nous apprend que l'association se porte bien et que de plus en plus d'amoureux de ce "poumon vert, de véritables écologistes et d'experts s'intéressent à la biodiversité des lieux, à leur flore et à leur faune. Une entomologiste du Muséum d'Histoire naturelle, un naturaliste du Conservatoire des sites naturels de Bourgogne, un ornithologue de la Ligue de protection des oiseaux y réalisent des études enrichies d'observations, de photos et de comptages. Il y est fait mention également d'une assez curieuse convention passée avec la commune ce qui tendrait à prouver que vous gardez, Monsieur le Maire, un fer au feu au cas où...

    Par ailleurs j'apprend de source sûre que tout récemment une parcelle de terrain vient d'être attribuée à une personne qui souhaite faire du jardinage son passe-temps favori. Comme quoi vous voyez Monsieur le Maire, qu'il est possiblede "faire du social" dans cette zone inondable autrement qu'en y construisant des logements dits sociaux, sans sous-sol et à grands frais donc à loyers immodérés.

    Site de l'association: http://www.marsannay-jardins-vergers-de-la-cote.com/. Tél.03 80 52 37 92


    votre commentaire
  • Monsieur le Maire vient d'en faire la cruelle expérience lui qui, non seulement a créé et entretenu avec l'aide d'un adjoint insolent un climat permanent de discorde au sein de l'assemblée municipale en usant de méthodes antidémocratiques et incorrectes, a pris imprudemment des mesures pour ne pas dire des sanctions à l'encontre de la conseillère d'opposition, sa bête noire et du conseiller d'opposition lui aussi, à l'occasion de son  installation en toute légalité en remplacement d'un collègue démissionnaire pour raison de santé. En se référant au règlement intérieur du Conseil Municipal notre premier magistrat qui devra au plus vite améliorer ses connaissances en matière de gestion administrative et juridique de la commune, vient de s'attirer les remarques polies mais fermes de l'autorité préfectorale mise au courant de l'affaire qui lui demande de corriger le dit règlement jugé trop restrictif par rapport à la loi. Un véritable camouflet.

    Et ce n'est pas tout. L'interdiction infligée à ces deux conseillers de sièger dans les commissions à la suite de la création d'un nouveau groupe est jugée illégale par la même autorité. Second camouflet.

    La responsable toute trouvée de tout ça, mais voyons, la toute nouvelle directrice dénérale des services qui n'a pas encore pris la mesure de l'incompétence de ceux qui la dirigent et à qui je souhaite bon courage.

    Lire le détail de ces affaires sur le blog de Tous unis à Marsannay


    votre commentaire
  • Au sujet de l'éco-quartier en Saint Urbain, ce projet très "dans le vent" et fortement contesté, qui constituait la pièce maîtresse du programme de la liste VEM lors des dernières élections municipales qui ont porté celle-ci au pouvoir avec une courte avance due à un changement de cap inattendu et suicidaire d'une tête de liste de l'opposition entre les deux tours, le rapporteur public du tribunal administratif a conclu à l'irrecevabilité des requêtes des opposants, en clair un sérieux revers pour l'association de défense qui, depuis des années s'oppose à ce qui constituerait une faute majeure aux conséquences incalculables en même temps qu'un acte anti-écologique de première grandeur. Car enfin ce serait briser à jamais ce système imaginé par les générations antérieures de rétention graduelle et momentanée des eaux que celles-ci soient de ruissellement ou souterraines et détruire du même coup la faune et la flore d'un milieu naturel qui fait l'objet d'études menées actuellement par des techniciens compétents et déterminés.

    Mais ce n'est là qu'une péripétie qui ne prend en compte que l'aspect juridique de l'affaire laissant de côté, comme d'habitude, la logique et le bon sens. L'origine de ces erreurs de jugement, c'est le classement initial purement administratif mais choisi non sans arrières-pensées de ces terres. Les dernières pluies apportent opportunément la preuve que la zone est toujours inondable et par conséquent inconstructible selon des recommandations officielles prises à la suite des désastres à répétition dans le sud de la France, malgré les travaux importants et coûteux déjà effectués en amont. Que ceux qui en doutent encore se rendent sur les lieux ou plus simplement consultent les photos récentes publiées sur le site de l'association pour la protection des jardins et vergers de Marsannay


    votre commentaire