• Un mot juste pour rappeler une évidence, la période des vacances n'est pas propice aux exercices de communication et il est préférable de s'abstenir plutôt que de brasser du vent, surtout entre le 14 juillet et le 15 août. Aussi le moment est-il venu de remettre sur le tapis une affaire déjà ancienne qui a fait l'objet de questions posées au maire, d'articles rédigés, de démarches effectuées par les conseillers municipaux d'opposition. Une affaire non encore commentée dans ces pages dans le seul but d'attendre les explications du maire hélas renvoyées aux calendes grecques dans un compte-rendu officiel rédigé ainsi:"cette question ayant été posée de façon très officielle, je ne peux donc pas vous répondre pour le moment, mais je ne manquerai pas de revenir sur ce dossier quand j'en aurai l'occasion". Mais de quoi s'agit-il? Vous l'avez deviné, des décisions surprenantes et graves prises de façon autoritaire par le premier magistrat de la commune concernant le choix du concepteur et de l'imprimeur chargés de définir et de donner le jour à une nouvelle présentation du bulletin municipal. Des décisions politiquement hors normes signalées par l'opposition à l'autorité préfectorale qui, usant du langage diplomatique a, par un courrier réponse qui se faisait attendre, très poliment noyé le poisson en légalisant du bout des lèvres le procédé utilisé par cette formule lapidaire à souhait: "sans suite". Mais pour le maire l'alerte aura été chaude, très chaude. (à suivre)


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